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Le PCF : votre bien commun

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14 avril 2018 6 14 /04 /avril /2018 09:50

La Commission Européenne, au nom du principe de “concurrence libre et non faussée”, entend s’attaquer à l’ensemble des monopoles publics. Dans le cas de la France, après avoir remis en question les monopoles de France Télécom, de Gaz de France, d’Air France, de La Poste et de la SNCF, elle entend “ouvrir à la concurrence” le marché de la production d’électricité hydraulique.

Cette demande vise particulièrement EDF. EDF, entreprise publique, contrôle plus de 80% des barrages français – la part restante est contrôlée par Engie, ex GDF. Pour la Commission, il est impensable qu’une entreprise publique contrôle une si grande part d’un marché rentable : la production d’hydroélectricité. Ainsi, en octobre 2015, la Commission émet une mise en demeure officielle ordonnant à la France d’ouvrir à la concurrence ce marché ou, à défaut, de justifier le quasi monopole public d’EDF sur ce marché.

Cette mise en demeure, qui n’est pas censée être publique (ce qui est, en soit, scandaleux), a été révélée par Mediapart. C’est ce texte qui est invoquée par le gouvernement pour justifier la privatisation.

Si la France ne fait rien pour “régulariser sa situation, la Commission Européenne peut infliger une amende importante au gouvernement français. Cette mise en demeure, renouvelée en 2017, est l’argument qu’utilise Hulot au Sénat pour justifier la privatisation inéluctable des barrages.

VISUALISEZ LA VIDEO SUIVANTE

Halte privatisation des barrages

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1 avril 2018 7 01 /04 /avril /2018 17:15
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1 avril 2018 7 01 /04 /avril /2018 16:28
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1 avril 2018 7 01 /04 /avril /2018 16:11
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23 mars 2018 5 23 /03 /mars /2018 18:44
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21 mars 2018 3 21 /03 /mars /2018 16:21

Voilà des années que les gouvernements successifs ont fait le choix de la privatisation des transports contre le climat, l'égalité et le social : sous-investissement dans le rail et investissement massif vers autoroutes et autocars, privatisés qui favorisent notamment l’explosion du trafic de marchandises par poids lourds.

Depuis 1997 et la création de RFF, la SNCF est toujours plus segmentée, pour casser le corps social cheminot et poursuivre les privatisations préconisées par les « directives » européennes. Aujourd’hui, Macron pousse au bout la logique de l’éclatement de la SNCF. Partout en Europe, les recettes qu’il veut appliquer produisent la disparition de lignes, l’explosion des prix, la vétusté des installations et des trains, la disparition du fret. C'est toute la population qui paie triplement l'addition : financièrement, par l'inégalité territoriale induite, par sa santé altérée et par la pollution générée.

Après 20 ans d'une libéralisation amplifiée, l'empilement des directives européennes poussant dans ce sens, Macron propose d’achever le service public ferroviaire par ordonnances avec des conséquences dramatiques pour les usagers et l’aménagement des territoires. Pour y arriver, Il accable les cheminot.tes, les faisant passer pour des privilégié.es qui, comme les retraité.es, les étudiant.es ou les chômeurs.ses, ruineraient la France. La réalité est tout autre : ils et elles se battent pour sauver l'emploi des générations qui viennent.

Le train n’est pas qu’un moyen de locomotion, c’est un service public, un outil essentiel à la transition écologique et il est insupportable qu’il puisse s’arrêter aux portes des grandes métropoles. La bataille du service public ferroviaire est d’abord une bataille pour l’égalité.

Face à ce gouvernement, qui veut parachever la transformation d’un service public censé être guidé par l’intérêt général en une entreprise du CAC 40, les cheminots et les cheminotes ne sont comptables de rien. Pas plus que les étudiant.es qui perdent une partie de leurs APL, les retraité.es qui voient la CSG augmenter, les personnels de soins, les enseignant.es, les chômeurs.ses ou l'ensemble des fonctionnaires. Pas plus que les migrant.es qui subissent une politique indigne.

Macron et Philippe veulent en faire des bouc-émissaires ? Nous affirmons collectivement qu’ils et elles sont les victimes des politiques libérales menées depuis tant d’années, qui expliquent la montée de l'extrême-droite partout en Europe.

Ils nous veulent désunis ? Nous répondons que nous serons dans la rue le 22 mars pour défendre l’accès au service public, à commencer par le ferroviaire, les cheminot-e-s, mais aussi l’ensemble des fonctionnaires et l’intérêt des usager-e-s.

 

Alternative Libertaire ; Europe Écologie - les Verts ; Ensemble ; Gauche Démocratique et sociale ; Génération.s ; Groupe Parlementaire France Insoumise ; Nouveau parti Anticapitaliste ; Nouvelle Donne ; Parti communiste Français ; Parti communiste ouvrier Français ; Parti de Gauche ; République et socialisme

 

Rendez vous au RER à 13h15 pour aller à la manifestation.

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19 mars 2018 1 19 /03 /mars /2018 18:49
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19 mars 2018 1 19 /03 /mars /2018 16:00
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17 mars 2018 6 17 /03 /mars /2018 16:14
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