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Le PCF : votre bien commun

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4 février 2019 1 04 /02 /février /2019 16:28

 

Les propositions du PCF
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6 décembre 2017 3 06 /12 /décembre /2017 12:55

L’économie communiste existe déjà, celle de la gestion par tous des biens et besoins communs.

Changer la société c’est généraliser ce que les 5 ministres communistes (Maurice Thorez, Ambroise Croizat, François Billoux, Marcel Paul et Charles Tillon) ont su pendant un an en 1945, avant d’être renvoyés par le socialiste Blum , mettre en place ;

La sécurité sociale , le statut du fonctionnaire, les allocations familiales, la création d’EDF et GDF …

 

La nouvelle société doit se baser sur trois piliers (voir « Vaincre Macron » de Friot)

 

1) le salaire tout au long de la vie (comme les fonctionnaires)

Tout ce qui produit valeur est un travail, donc le jeune sans emploi, le chômeur comme le retraité travaillent. Le capitalisme ne considère le travail que s’il est marchand mais toute activité non marchande, souvent bénévole, est du travail.

A partir de 18 ans et jusqu‘à sa mort on touche un salaire( base 1700 € par exemple). Il ne s’agit pas du salaire de base pensé comme une allocation sans lien avec le travail, un don comme l’aristocratie distribuait à la sortie de l’église au moyen age (concept Hamon).

Les enseignants, les employés municipaux, le personnel hospitalier même les médecins qui sont payés par la sécurité sociale, soit plus de 5 millions de personnes ont un salaire à vie.

 

La progression du salaire se fera sur la base de la qualification par des commissions, l’échelle serait de 1 à 6 et la retraite correspondra au dernier salaire (comme les fonctionnaires). La qualification appartient à la personne et plus au poste de travail, à l’emploi qui est le moyen de l’aliénation utilisé par le capitalisme.

 

2) Ce qui n’appartient à personne appartient à tous.

Comme l’air, l’eau voir la lune mais aussi l’arctique ou les alpages, il faut que la propriété (sauf l’habitat évidemment) soit un bien commun et que les salariés en dispose en tant qu’usagers. Il faut que le droit d’usage remplace le droit de propriété capitaliste.

Donc, comme la sécu à la sortie de la guerre, ce sont des commissions des salariés ( les jeunes et les retraités sont aussi des salariés) qui gèrent. Ceci a permis de construire les hôpitaux sans s’endetter par exemple alors que depuis les accords public/privé, ces hôpitaux deviennent déficitaires.

L’évolution technologique facilite la gouvernance par le plus grand monde.

 

3) Refuser la dette comme base de l’investissement. L’investissement par la subvention.

Les salariés, sous l’emprise capitalisme, travaillent exclusivement pour rembourser la dette, même celle des états.

Tout travail produit une valeur, cette valeur mutualisée (comme pour les retraites) va permettre de fournir les différentes caisses : salaire, santé … mais aussi le surplus permet de subventionner et non d’enrichir des investisseurs rapaces.

Donc remplacer la dette source de l’aliénation organisée par le capitalisme : il suffit de constater la situation de la Gréce.

 

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6 mars 2017 1 06 /03 /mars /2017 15:57

Maintien de l'austérité budgétaire et de politiques néolibérales à l'échelle européenne, poursuite des exonérations de tisations sociales patronales, baisse de l’imposition des hauts revenus et des revenus du capital à travers sa réforme de l'ISF, de l'impôt sur les sociétés et la flat tax à 30 %, baisse de 60 milliards d’euros des dépenses publiques, suppression de 120.000 fonctionnaires, casse des droits des chômeurs, suppression des régimes spéciaux de retraite… le programme d'Emmanuel Macron, entièrement soumis aux exigences du MEDEF, est une déclaration de guerre aux travailleurs du pays.

Loin d'apporter des réponses nouvelles, il fait la part belle à de vielles recettes inefficaces pour l'emploi et conduirait à la dégradation de services publics essentiels à la réponse aux besoins sociaux. Sa réforme de l'unedic fragiliserait considérablement l’indemnisation du chômage et la négociation collective dans son ensemble. La suppression des régimes spéciaux dégraderait le droit à la retraite pour des millions de français. Le droit à l'éducation serait quant à lui mis à mal par un projet qui casse le cadre national et créerait une École à plusieurs vitesses et le droit logement par l'absence totale de propositions en faveur du logement social.

Quant aux mesures soi-disant favorables aux catégories populaires et moyennes comme la suppression des cotisations salariales, la revalorisation d'allocations ou encore la suppression de la taxe d'habitation, force est de constater que l'augmentation du pouvoir d'achat promise serait annulée par la casse de la protection sociale et le recul des services publics, en particulier dans les communes, qui seraient pénalisées tant par la baisse de leurs ressources que par la réduction du nombre d'agents territoriaux.

François Fillon découvre aujourd'hui qu'il a un frère jumeau dont le programme partage exactement le même logiciel néolibéral.

Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF

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19 janvier 2017 4 19 /01 /janvier /2017 11:31

Le « revenu de base », ou quel que soit son nom, fait partie de ces fausses bonnes idées pour résoudre les vraies questions du chômage et de la précarité. L’idée est simple en apparence : fournir un revenu mensuel à chaque individu, indépendamment de son activité productive et de ses autres revenus, juste parce qu’il existe.
Si ses sources idéologiques et théoriques sont multiples, elles reposent toutes sur un socle commun : elles postulent implicitement que l’on peut distribuer un revenu sans se soucier de sa production préalable. Or un revenu ne se distribue que s’il existe ! C’est un principe de réalité, avec des conséquences.


Un, il place la bataille pour la maîtrise sociale de la production de richesses et l’efficacité de cette production au cœur de celle de la répartition des richesses. Pour paraphraser Marx, disons qu’il rappelle que la maîtrise sociale de la sphère de la nécessité est la condition du règne de la liberté.


Deux, il pose la question de la validation sociale de la redistribution des richesses. Les défenseurs du revenu de base considèrent que tout acte social, par sa contribution à la richesse collective, a une valeur économique qui justifie le revenu universel. Mais une heure de pétanque a-t-elle socialement la même valeur qu’une heure de travail en entreprise ?


Trois, en déplaçant l’objectif d’une équité devant l’emploi vers celui d’une égalité devant un revenu social, le revenu de base entérine la logique du capital. D’abord, parce qu’un revenu social distribué à chacun sans conditions accentuerait la déresponsabilisation sociale des entreprises. Pourquoi en effet augmenter les salaires, ou même conserver un SMIC, si les salariés bénéficient déjà d’un revenu déconnecté de tout véritable emploi ? Et pourquoi accroître les prélèvements sociaux sur les profits au bénéfice d’une prise en charge sociale et collective élevée des besoins sociaux, si chacun a prétendument les moyens de contractualiser individuellement sa prise en charge ? Ensuite, parce que l’institution d’un revenu de base opérerait un double abandon : celui de la lutte pour l’emploi contre le chômage et celui de la lutte pour un dépassement du capitalisme. En effet, le revenu de base est généralement défini comme l’outil permettant d’accompagner les effets néfastes des mutations économiques que sont la montée du chômage et des précarités liées à la révolution numérique, et de libérer ainsi du travail aliénant. Pourtant, accompagner les effets néfastes de ces mutations et non les contrer, c’est traiter le symptôme et non la maladie, et faire du revenu de base l’outil du renoncement à la bataille pour l’emploi et sa sécurisation. Entériner cela, ce serait faire l’impasse sur le besoin de coopération collective qu’exigent les productions modernes, coopérations de travail et d’investissements, et de développement pour soi-même, permettant de construire l’efficacité sociale commune.


Disposer d’un revenu permettant de participer aux activités sociales créatrices et dans le même temps éradiquer le chômage demande un objectif bien plus révolutionnaire et ancré dans la réalité, tant celle-ci est marquée par la nécessité humaine des moyens réels d’existence qu’il faut maîtriser pour assurer la conquête de nouvelles libertés. Cela nécessite de révolutionner les conditions dans lesquelles s’effectue la production de richesses afin de permettre à tous d’y participer, avec de nouveaux droits, et d’en bénéficier. Ce qui renvoie, non à l’accompagnement des mutations de l’économie française, mais à une nécessaire maîtrise sociale et démocratique de ses évolutions.

 

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2 septembre 2015 3 02 /09 /septembre /2015 13:55
Les points de vente de la vignette sur RUEIL

Tous les camarades sont les bienvenus

.

Mercredi 2 septembre, RDV au RER à partir de 17h30.

Vendredi 4 septembre, RDV au RER à partir de 17h30.

Vendredi 4 septembre RDV devant Carrefour à Colmar à partir de 18h.

Samedi 5 septembre RDV au marché du centre à partir de 10h30.

Samedi 5 septembre RDV devant Leclerc à la Fouilleuse à partir de 10h.

Dimanche 6 septembre RDV au marché des Godardes à partir de 10h.

Mardi 8 septembre RDV au RER à partir de 17h30.

Une distribution, à programmer, est prévue devant le lycée Richelieu

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 20:56
  Réunion publique

 

Vendredi 13 mars 2015 

à 20H

 

mini-mairie, Place du 8 mai 45

avec

les candidats présentés par

le Front de gauche

 

 

x

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 17:38

UNE GAUCHE NOUVELLE ÉMERGE

Contre le FN et les politiques libérales,
saisissons nous du vote le 22 mar
s


DÉCLARATION DE PIERRE LAURENT SECRETAIRE NATIONAL DU PCF
« Ce qui se passe, c'est du jamais vu dans une élection nationale dans notre pays. Le 1er tour se
tient dans 20 jours. Tous les Français sont appelés aux urnes.

Or la plupart d'entre eux n'ont pour le moment accès à aucune information sérieuse sur le sens de ces élections.

A quoi assistons-nous ?
Une occultation totale des enjeux de ces élections départementales. Ces élections concernent pour la première fois tous les départements en même temps ; le mode de scrutin a changé, entraînant un important renouvellement des candidats et la présentation de milliers de femmes ; les cantons ont été redécoupés sans information des électeurs ; la réforme territoriale met en jeu le rôle et l'avenir, pourtant essentiels, des départements.

Malgré ces enjeux, les Français sont privés de toute information et débat sérieux pour forger leur opinion. (...) Nous demandons que soit corrigé ce déni démocratique sur toutes les antennes d'information.
Une incroyable promotion et banalisation du Front national au mépris du danger que cela fait courir à la démocratie et à l'unité nationale (...) Il faut que cesse la banalisation organisé du FN au prétexte du visage prétendument fréquentable dont il s'est affublé. Car, à travers lui c'est la banalisation d'une parole raciste libérée qui prospère. Les déclarations ouvertement racistes relevées sur les blogs, Facebook... de candidats FN sont trop nombreuses pour qu'on avalise leur caractère anecdotique. C'est le fond raciste du parti de Marine Le Pen qui remonte.
J'en appelle à la responsabilité de tous pour éclairer les Français et cesser de relayer la
parole du FN qui minimise systématiquement tous ces faits gravissimes pour en fait les
justifier.
Je m'adresse aux Français pour les alerter sur la tromperie qui s'organise contre leurs
intérêts. Je dis aux ouvriers, aux employés, aux salariés de conditions modestes, aux familles
populaires qui souffrent durement de la crise et ne supportent plus d'être pris pour des
imbéciles par ceux qui ont le pouvoir et l'argent : le FN n'est pas votre nouvel ami, c'est
votre meilleur ennemi. Le FN a trois cibles prioritaires : les familles populaires, les services
publics, les dépenses sociales des collectivités locales. Tarifs sociaux dans les cantines, aides
sociales et solidarité, logements sociaux, culture et éducation, voilà où il frappe d'abord
notamment dans les municipalités qu'il dirige. Son discours anti-immigrés est un cheval de
Troie contre les droits de tous les salariés. Quant à la sécurité, son discours ce n'est pas
l'ordre et la tranquillité publique, c'est la division, la haine, la guerre, c'est la fin du vivre-
ensemble. (...)
Le Parti communiste appellera clairement et toujours à faire barrage à toute élection d'un
candidat Front national.Je sais que beaucoup de Français disent : « alors que faire ? »
La solution n'est évidemment pas la droite qui cherche en espérant récupérer les voix du FN
au second tour à conquérir le maximum de départements pour détruire les politiques
publiques qu'il s'agit au contraire de défendre et de promouvoir dans l'intérêt du plus grand
nombre.
Quant au gouvernement Valls il s'acharne à trahir les intérêts populaires, à imposer la loi
Macron et l'austérité à tous les étages.
Ceux qui comme Nicolas Sarkozy ce matin continuent d'instrumentaliser dans un sens ou
dans l'autre la montée du FN pour qui les débats de fond sont irresponsables.
Malgré ces obstacles, je le dis haut et fort aux Français, la voie n'est pas bouchée, le vote
n'est pas bouclé. Il y a quelque chose d'utile à faire pour votre vie, pour l'avenir de nos
départements et du pays dans ces élections.
Une gauche nouvelle est en train d'émerger dans le pays, une gauche qui dit non à
l'austérité, à la précarité et à l'insécurité de nos vies, qui dit oui à la solidarité, au vivre-
ensemble, aux politiques publiques de justice sociale que peuvent mettre en œuvre les
départements.
Cette gauche nouvelle, celle qui voit désormais converger les communistes et le Front de
gauche, des écologistes d'EE-LV, des forces comme Nouvelle donne, des socialistes qui
refusent maintenant clairement les politiques Valls-Macron. Elle présente des candidats
dans presque tous les cantons de France.
C'est à cette force nouvelle qu'il faut donner de la force et des élus dans les départements.
En la faisant grandir dans les urnes le 22 mars, vous aiderez le pays à sortir de l'impasse.
Vous vous donnerez de la force pour résister aux politiques d'austérité, pour conforter les
politiques publiques de solidarité dont vous et vos enfants avez besoin, pour refuser tous les
chemins de haine, pour construire la France du vivre-ensemble qui reste plus que jamais
nécessaire.
Dans près de 200 cantons, elle peut être présente au second tour.
J'invite les Français très nombreux qui n'ont pas fait leur choix, qui s'apprêtent à s'abstenir,
à se poser cette question le 22 mars : à qui donner de la force ce jour-là ?, des candidats
soutenus par le PCF, le Front de gauche et toutes les forces qui travaillent désormais avec
nous à construire une voie nouvelle à gauche, sera, pour tous et le pays, la meilleure
nouvelle qui puisse advenir.
Ce progrès est possible. J'appelle à déployer toutes les efforts nécessaires pour la court-
circuiter dans les urnes le 22 mars.
NE LAISSEZ PAS LA DROITE DÉCIDER POUR VOUS !
Le 22 MARS VOT
EZ

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21 février 2015 6 21 /02 /février /2015 17:28
Les candidats du Front de Gauche aux élections départementales

Élections départementales des 22 et 29 mars 2015 Canton de Rueil-Malmaison

Dominique Richer et Marc Becquey Titulaires
Maryline Nguyen Adam et Julien Torre Suppléants

D’UN CȎTÉ

C’est la réduction des dotations de l’État au détriment du Conseil Général du 92

  • moins 5 millions € pour la gestion de la restauration scolaire

  • moins 3,5 millions € pour le fonctionnement des collèges

  • moins 1 million € pour l’allocation aux frais de garde des jeunes enfants

  • moins 1 million € pour les dispositifs départementaux en direction des élèves en difficulté scolaire

  • moins 700 000 € pour les actions menées par les centres de PMI

  • baisse ou suppression des subventions aux associations dont celles pour la réinsertion des chômeurs

  • le tarif horaire de l’Aide Personnalisée d’Autonomie le plus faible d’IDF

DE L’AUTRE

  • 56 milliards € distribués aux actionnaires du CAC 40 pour 2014, soit 30% de plus qu’en 2013, équivalent à 2007, un an avant la crise des subprimes !

  • 60 à 80 milliards € d’évasion fiscale par an (travaux de la commission

d’enquête sur l’évasion fiscale rendus au Sénat en 2013)

NON A LA POLITIQUE D’AUSTERITE

Le gouvernement et le PS portent une lourde responsabilité quant à la situation économique, sociale et politique actuelle de notre pays. Ils poursuivent et aggravent la politique suivie précédemment par l’UMP et la droite qui demandent aujourd’hui à aller encore plus loin dans les mesures antisociales. Ils souscrivent ainsi tous aux directives européennes.

Que nous sachions, M. Ollier, député-maire, qui cherche 8,9 millions € pour boucler le budget 2015 de la ville, n’a jamais proposé à l’Assemblée Nationale une seule mesure pour une meilleure répartition des richesses dans notre pays !

Quant au FN, il n’a rien trouvé à redire sur les coupes dans les budgets sociaux ni sur les milliards d’exonération de cotisations sociales accordés aux entreprises lors des débats sur les récents textes législatifs.

D’autant que son programme prévoit « un déficit structurel égal à zéro ».

C'est-à-dire la mise en place, en France, d’« une règle d’or » encore plus contraignante que celle soutenue par le PS et l’UMP et plus dure que ne peut l’être le traité budgétaire européen.

OUI A UNE ALTERNATIVE DE PROGRES

D’autre choix sont possibles pour des projets utiles et solidaires au service de nos concitoyens dans notre département, le plus riche de France, avec un budget

de 2 milliards €.

En votant pour les candidats du Front de Gauche, vous aurez des élus déterminés à lutter contre l’austérité et à faire aboutir ces projets avec vous.

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8 février 2015 7 08 /02 /février /2015 13:50
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29 janvier 2015 4 29 /01 /janvier /2015 22:08
EELV et le PCF, avec ses partenaires du Front de Gauche feront campagne commune aux élections départementales de 2015, dans plusieurs cantons des Hauts-de-Seine.  Malgré notre rencontre avec EELV sur notre canton, nous n'avons pu constituer une liste commune alors que, comme l'indique l'accord, nous avons de nombreux points de convergence pour un département citoyen et solidaire.  Les évolutions au niveau national et européen montrent l'urgence de mener la bataille ensemble afin de « mettre en avant notre capacité citoyenne et politique à mener une politique progressiste de gauche et écologique »

EELV et le PCF, avec ses partenaires du Front de Gauche feront campagne commune aux élections départementales de 2015, dans plusieurs cantons des Hauts-de-Seine. Malgré notre rencontre avec EELV sur notre canton, nous n'avons pu constituer une liste commune alors que, comme l'indique l'accord, nous avons de nombreux points de convergence pour un département citoyen et solidaire. Les évolutions au niveau national et européen montrent l'urgence de mener la bataille ensemble afin de « mettre en avant notre capacité citoyenne et politique à mener une politique progressiste de gauche et écologique »

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