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Le PCF : votre bien commun

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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 21:47

Le président de la République vient de s’exprimer sur la réforme territoriale. C’est une régression démocratique sans précédent qui est annoncée. C’est la France des décrets et des préfets que veut le président.


Le chef de l’État propose de réduire de moitié le nombre d’élus territoriaux. Il affirme vouloir en finir avec « l’empilement des structures » mais agit en fait pour éloigner la pratique du pouvoir des populations. Il dit permettre ainsi un fonctionnement « à moindre coût » : c’est une aberration. La part des élus départementaux et régionaux dans le budget des collectivités est de seulement 0,04% !


Le mode de scrutin arrêté par le président est quant à lui une régression sans précédent. Les 20% de proportionnelle ne servent qu’à cacher un mode de scrutin « uninominal à un tour » qui vise à permettre à une UMP de plus en plus minoritaire de garder le pouvoir.


Il annonce la « suppression de la clause de compétence générale ». Cette suppression signe l’arrêt de mort de politiques publiques locales de qualité. Nicolas Sarkozy lie par ailleurs sa réforme à la « suppression de la taxe professionnelle », témoin éclairant de son soutien aux intérêts privés, preuve de sa volonté de retirer tout moyen d’action aux collectivités.


Les communistes ne proposent pas le statu quo. Ils proposent une réforme dont la démocratie serait le cœur.


Ils proposent une réforme qui institue le partage des décisions entre citoyens et élus, qui valorise le rôle et le travail des élus, qui donne les moyens financiers aux Collectivités territoriales, pour pouvoir conduire leurs politiques, qui favorise le développement des services publics et un nouveau mode de développement, qui ouvre les collectivités sur des coopérations entre elles et avec le reste du monde, qui donne à l’État un rôle de régulation et de répartition pour faire reculer les inégalités. Nous mettons la démocratie au cœur de cette réforme : défendre et améliorer la démocratie représentative et instituer une démocratie participative c’est-à-dire la participation des citoyens aux décisions pendant la durée des mandats.


Le président dit vouloir « des acteurs et des projets, pas des institutions et des procédures » mais c’est tout le contraire qu’il met en place dans un projet centralisateur et autoritaire.



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19 octobre 2009 1 19 /10 /octobre /2009 11:24

L’objectif des ateliers de la gauche est d’organiser une véritable confrontation à gauche sur les questions du projet parce que les communistes pensent que le rassemblement à gauche doit se construire sur le projet. De ce point de vue, les ateliers se présentent de manière intéressante car presque toutes les forces de gauche seront présentes.


Le Parti de gauche et la Gauche unitaire sont, désormais, co-organisateurs de ces ateliers. On peut regretter l’absence du NPA qui continue de s’enfermer dans son isolement. D’autant plus que la présence des forces de gauche ne les engagent évidemment pas pour les futurs rendez-vous électoraux. Les Verts participent à ces ateliers et l’on sait qu’ils présenteront des listes autonomes lors des prochaines élections régionales. Les absents ont toujours tort. L’idée, c’est que chacun vienne avec des propositions et que l’on acte après chaque atelier ce que devraient être les axes forts d’une politique de gauche.


Les communistes souhaitent une confrontation aiguisée sur ce qui doit être tranché à gauche. Il faut aller au bout des débats qui fâchent afin de faire émerger le socle d’une politique de gauche.


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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 11:32

Quelque 1.700 salariés sans-papiers se sont mis en grève et occupaient une trentaine de sites, avec le soutien d’un front syndical et associatif élargi qui dénonce "l’arbitraire préfectoral" dans l’examen des dossiers de régularisation par le travail.


Retrouvez ci-après la vidéo d’ouvriers sans-papiers qui révèle leur condition de travail.


Alors que le gouvernement refuse toujours toute régularisation massive, une loi de 2007 a ouvert des possibilités d’obtention d’un titre de séjour, valable un an et à renouveler, pour certains métiers et selon certains critères.


Or, constatent plusieurs syndicats (CFDT, CGT, FSU, Solidaires, Unsa) et associations (Cimade, Ligue des Droits de l’homme, RESF, Femmes Egalité, Autremonde, Droits devant), "le traitement de chaque dossier de salariés est loin d’être similaire selon les départements, et même entre des salarié(e)s de situation parfaitement identique, y compris au sein d’une même entreprise".


Le grief fait au gouvernement, exposé dans une lettre commune adressée au Premier ministre début octobre et sans réponse à ce jour, est de "ne pas faire appliquer les textes qu’il a lui-même édictés", selon Francine Blanche (CGT).


"Ca bloque de partout, il faut une circulaire", a-t-elle insisté lors d’un point presse, citant le cas de "300 salariés rentrant dans les critères, dont la liste a été remise en mai et qui n’ont toujours pas été convoqués en préfecture, tandis que d’autres sont menacés d’expulsion malgré un examen en cours de leur dossier".


Mardi soir, selon les organisateurs, 1.700 salariés sans-papiers, la plupart originaires d’Afrique de l’ouest, avaient rejoint le mouvement, squattant notamment des agences d’intérim proche de la gare Saint-Lazare, les locaux d’une société de nettoyage, un chantier du tramway et tout le rez-de-chaussée de la fédération patronale des travaux publics (FNTP) près des Champs Elysées.


Dans un communiqué, le ministre de l’Immigration, Eric Besson, a annoncé vouloir "faire procéder à une comparaison des résultats enregistrés dans chaque département". A charge ensuite pour ses services "de lui proposer, si nécessaire, toute démarche utile afin d’assurer une plus grande harmonisation".


Symboliquement, syndicats et associations ont tenu leur point presse dans un dépôt RATP, dont un sous-traitant, la société Asten chargée de la réfection des quais de métro, a été accusée d’employer des intérimaires sans-papiers pour du travail de nuit effectué dans des conditions indignes.


Ces salariés ont filmé leurs conditions de travail :


 


Les occupants de ce dépôt ont été évacués mardi soir "manu militari" par les forces de l’ordre, selon la CGT, tandis que selon la police, ils sont partis d’eux-mêmes.


23 d’entre eux, Maliens, Mauritaniens ou Sénégalais, âgés de 29 à 50 ans et en France depuis 1999 pour certains, ont présenté des images tournées au téléphone portable, les montrant charriant dans les escaliers d’une station de métro des plaques de bitumes usagés, pesant 50 kg selon l’un d’eux et portées à l’épaule ou à même la tête.


La RATP a déclaré dans un communiqué qu’"à sa connaissance, aucun salarié travaillant sur ses sites n’était en situation irrégulière" et rappelant faire travailler "plus de 5000" fournisseurs.


"Dans les Yvelines, la préfecture bloque sur les aides à domicile alors qu’à Paris, ça s’est un peu ouvert. Sur une dizaine de dossiers, on a obtenu la régularisation d’une Béninoise.. c’est tout juste s’ils ne nous ont pas présenté ça comme un cadeau", a témoigné Daniel Richter de la CFDT 78.


Le communiqué de la CGT

"Sur demande de la Direction Générale de la RATP, la Police intervient « sans mandat de justice » sur le site de Championnet pour évacuer 23 Travailleurs en grève qui exigeaient leur régularisation. Ces 23 salariés travaillent pour la RATP depuis des années. Dans le cadre d’un marché, la RATP sous traite la réfection du bitume sur les quais du métro. L’entreprise sous-traitante ASTEN embauche depuis des années, exclusivement, via des entreprises d’intérim.

Personne ne peut ignorer qu’il s’agit de Travailleurs Sans Papiers. Quel travailleur accepterait de travailler la nuit pendant 8 heures, sans pause, à charrier sur la tête des dizaines de kilos de gravats, à transporter des sceaux de 50 kg de bitume à 250 degrés ? Et tout cela, sans aucune protection ! C’est pour toutes ces raisons que ces salariés se sont mis en grève sur le site RATP de Championnet. Le donneur d’ordres est le premier responsable !

Cette évacuation annoncée et assumée par communiqué de presse de la RATP s’est produite à 19 h 00. La Police a poussé les grévistes, les militants syndicaux et Associatifs, les Elus et soutiens, hors de l’entreprise et les a « accompagné » à la station de métro la plus proche dans une marche « lente » d’une heure et demie.

Ce geste, de violence fait à des salariés, n’exonère en aucun cas, la RATP de ses responsabilités de « donneur d’ordres ». Responsabilité qu’elle le reconnaît d’ailleurs implicitement dans son communiqué du 13 octobre 2009.

En revanche, les images des Travailleurs Sans Papiers d’Asten diffusées au Journal Télévisé de 13 h 00 par France 2 sont en contradiction avec les propos rassurants de la RATP.

L’ union départementale CGT de Paris, la CGT, l’Union CGT RATP réaffirment, avec force que le gouvernement doit cesser l’hypocrisie et éditer une circulaire de régularisation des Travailleurs Sans Papiers définissant des critères améliorés, simplifiés et appliqués, à l’ensemble du territoire."



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16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 12:34

Voilà maintenant deux semaines que l’actualité est gangrenée par des vagues successives de déclarations pour défendre tel artiste, tel ministre ou pour le pourfendre voire pour le descendre. Mais tout cela s’opère avec un goût amer d’instrumentalisation politique faisant peu de cas du fond des sujets traités.


Il y a près de quarante ans, le mouvement des femmes a dû engager une longue marche pour que le viol soit reconnu comme un crime, par le vote, seulement en 1980, d’une loi lui donnant enfin une définition permettant ainsi de le juger comme tel. Pendant combien d’années a-t-il fallu lutter pour que les violences contre les femmes sortent du « sacro saint » domaine privé pour devenir un sujet « politique », en l’occurrence un fléau que la société se devait de combattre. Combien d’années à travailler pour déculpabiliser les victimes, pour les aider à se reconstruire et porter la responsabilité sur les vrais coupables.


Aussi, à quelques jours du 17 octobre nous ne pouvons que dire à toutes celles et tous ceux qui veulent conquérir de nouveaux droits pour les femmes, qui veulent que l’égalité avance et qui sont farouchement opposés à tout recul dans les mentalités et dans la réalité : venez manifester samedi y compris pour dire votre refus de céder aux pressions idéologiques réactionnaires et machistes.(*)


Marie-George Buffet, Secrétaire nationale du PCF participera à la manifestation pour le droit des femmes

samedi 17 octobre 2009 à partir de 14h15, place de la Bastille à Paris
 (boulevard Beaumarchais)


(*) Extrait de l’appel « le droit de dire non », signé par Elisabeth Ackerman, Gaëlle Abily, Martine Billard , Marie George Buffet, Laurence Cohen, Brigitte Dionnet, Colette Mo, Christine Mendelsohn, Suzy Rojtman, Maya Surduts

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16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 12:31
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12 octobre 2009 1 12 /10 /octobre /2009 22:08

Selon les organisateurs, 2.000 personnes ont défilé derrière une banderole noire sur laquelle était inscrit, en lettres blanches, "Bachelot au boulot avec/pour les trans et les intersexués".


"Les propos de Roselyne Bachelot sont encourageants mais insuffisants", a déclaré à l'AFP Camille Barré, co-animatrice du collectif Inter Trans' et membre du PCF, rappelant que la ministre de la Santé avait souhaité, au mois de mai, un décret permettant à la transsexualité de ne plus être considérée comme une maladie mentale.


Dans un communiqué commun, les organisations Inter Trans' et Inter-LGBT (Lesbien Gay Bi et Trans) demandent, entre-autre, "le libre choix de son médecin", ainsi qu'une "procédure de rectification de l'état-civil non arbitraire (...) qui permette de ne plus conditionner cette rectification à une réassignation sexuelle et une stérilisation obligatoire".


Les associations demandent également la "reconnaissance de la transphobie comme discrimination", et "l'accès à la parentalité pour les personnes trans'".


Une cinquantaine d'associations et partis politiques ont défilé, parmi lesquels Inter-LGBT (qui organise la marche des fiertés chaque année), Act'Up, SOS Homophobie, Homosexualité et Socialisme (HES), Le Nouveau parti anticapitaliste (NPA), le PCF, Les Verts.


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12 octobre 2009 1 12 /10 /octobre /2009 18:08

Dans un communiqué intitulé « Faire revivre le Front de gauche », République & Socialisme fait part de son souhait de rejoindre le Front de gauche et d’intégrer son comité de liaison permanent.

Le Parti communiste français se réjouit de cette démarche qui conforte sa volonté de voir le Front de gauche continuer de s’élargir.

Ci-dessous, le texte du communiqué de République & Socialisme :

Faire vivre le Front de Gauche

Après le succès de la fête de l’humanité où les échanges et les débats furent forts riches, il convient aujourd’hui de mettre en pratique ce qui inlassablement a été un des principaux leitmotivs de cette fête « Faire vivre et élargir le Front de Gauche ». Pour sa part, République et Socialisme a démontré sa capacité et son souhait d’être véritablement partie prenante de celui-ci.

République et Socialisme réaffirme sa volonté d’être (au même titre que GU issu du NPA) intégré dans le comité de liaison du Front de Gauche.

Pour être pérennisé le Front de Gauche doit davantage s’enraciner auprès des couches populaires, c’est pourquoi nous souhaitons que s’engage le plus rapidement possible des discussions non seulement avec les organisations du FDG mais aussi avec tous ceux qui souhaitent travailler à une véritable alternative au social libéralisme, sans sectarisme, ni hégémonisme et dans la diversité de ses composantes.

C’est à cette seule condition que le Front de Gauche pourra démontrer sa capacité à être un espoir pour les couches populaires. Etre sur le terrain des luttes, mais aussi permettre un débouché politique à ces luttes ; les 2 étant intimement liés. Il nous faut travailler tous ensemble à des réponses concrètes et des propositions politiques adaptées. Les propositions de loi déposées par les députés communistes et du PG nous semblent être un bon socle de départ.

République et Socialisme réaffirme sa volonté de construire un socle commun et de participer aux listes d’union dans le plus grand nombre de régions pour poser les jalons d’une véritable politique ambitieuse notamment en matière d’emplois, d’enseignement, de formation, de culture et d’environnement.

République et Socialisme rappelle son souhait de faire triompher la Gauche.

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12 octobre 2009 1 12 /10 /octobre /2009 11:01

On a du mal à mesurer la portée de l’énorme “trou d’air” qui affecte le capitalisme mondialisé.


Un effondrement qui ne signifie certes pas que le système est à l’agonie, mais qu’il est profondément déstabilisé et que la question de son dépassement est posée.


L’explosion du chômage partout dans le monde donne idée de la gravité du séisme alors que des moyens d’une ampleur inédite sont mis en œuvre pour tenter de sauver un système bancaire et financier à la dérive et faire repartir l’économie. Les plans de relance mobilisent des sommes énormes : 787 milliards de dollars aux États-Unis, 450 milliards d’euros en Chine, 200 en Europe, soit respectivement 5,5 %, 7 % et 1,5 % de leur PIB. Les États s’endettent massivement, les banques centrales jouent les pompiers en injectant des centaines et des centaines de milliards.


L’intervention publique est sans précédent, l’argent des contribuables coule à flots, et malgré cela, l’on apprend que le rythme de croissance des prêts aux entreprises et aux ménages continue de ralentir en France et en Europe. Aux États-Unis, le crédit à la consommation des ménages est en baisse de 10 % ; en Allemagne, le ministre de l’Économie considère que la pénurie de crédit représente un danger « réel ». Il faut en mesurer les risques : si cette panne persiste, cela condamne par avance toute perspective de relance.


Où donc alors est passé l’argent ? Une étude économique publiée à la fin août par la banque Natixis nous met sur la piste. Il y est noté que grâce aux « liquidités abondantes » fournies par la puissance publique, les « investisseurs » « rediversifient leurs portefeuilles vers des actifs plus risqués ». C’est pour cette raison que depuis le 2e trimestre 2009, on assiste « à la remontée des cours boursiers », à « la hausse du prix des matières premières qui, dans le cas du pétrole « vient du stockage spéculatif », à « la hausse très rapide des marchés actions des pays émergents ».


Le gros mot est lâché : « spéculation ». Bénéficiant de facilités exceptionnelles, les banques et les multinationales, les grandes fortunes remettent le couvert, nous resservent la soupe qui a conduit à l’indigestion.


La leçon mérite d’être tirée par les forces alternatives : il y a une urgence planétaire à maîtriser l’argent et le crédit afin qu’il serve à autre chose, qu’il permette de démultiplier la richesse en développant l’emploi, plutôt que la décroissance, la misère, le chômage et la faim. Cela peut s’engager sans attendre l’ivresse d’un grand soir. On le voit, des positionnements nouveaux sont perceptibles. Dans les pays émergents, il y a la recherche, parfois confuse, d’une alternative au dollar. Il y a pourtant besoin d’aller plus loin encore, de réformer le système monétaire international, certes, et aussi de maîtriser les réseaux de l’argent pour répondre aux besoins sociaux.


La puissance des banques est considérable, disposer d’une prise sur ce pouvoir-là, c’est une condition majeure pour commencer à changer le monde.

 

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9 octobre 2009 5 09 /10 /octobre /2009 14:57

L’équipe de foot Créteil Bebel a annulé le match qui devait l’opposé à Paris Foot Gay.

L’équipe de « musulmans pratiquants » du club de Créteil Bebel s’est ainsi excusée par mail de ne pouvoir affronter le Paris Foot Gay, invoquant des raisons religieuses pour justifier leur homophobie.

Cette attitude est parfaitement scandaleuse.

Ces faits révoltants déshonorent leurs auteurs. Ils s’inscrivent dans une vaste et détestable contre offensive lgbtphobe (lesbien, gai, bi et trans) qui se manifeste jour après jour avec pour celles et ceux qu’elle frappe, un insupportable fardeau de souffrances et d’humiliations.

C’est un défi et un devoir pour toutes celles et tous ceux qui ont l’humain au cœur.

Les valeurs que porte la laïcité sont l’égalité et le respect de l’autre : il n’est jamais sans conséquence de laisser tourner le dos à ce principe de notre République.

Le PCF condamne tous les comportements homophobes et apporte son soutien à l’équipe Paris Foot Gay.

Richard SANCHEZ,

Président du Collectif « Fier-e-s et Révolutionnaires »

Membre du Conseil National du Parti Communiste Français.

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9 octobre 2009 5 09 /10 /octobre /2009 11:22
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