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Le PCF : votre bien commun

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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 15:03

Le G8 Alimentation s’ouvre en Italie du 8 au 10 juillet dans un contexte historique où la faim a atteint son plus fort niveau. Plus d’un milliard d’êtres humains dans le monde souffrent de famine et de mal nutrition. En avril dernier, le G8 de Rome s’était conclu par de louables intentions, mais un terrible aveu d’échec sur l’objectif de réduire d’ici 2015 de moitié les malnourris dans le monde, engagement pris lors du sommet mondial de l’alimentation en 1996.

Lors de la présidence française de l'Union Européenne, Nicolas Sarkosy avait promis des mesures pour lutter contre le volatilité des marchés. L'échec de cette dernière repose précisément sur la ibéralisation au pas cadencé de la Politique Agricole Commune

Pour lire la suite, cliquez ICI ou sur ce qui reste de la pomme (... de la Terre).

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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 21:18

Ce soir, à Hénin-Beaumont, le Front national a été battu. Les électrices et les électeurs de cette ville ont à la fois repoussé un parti populiste et xénophobe tout en envoyant un message à la gauche.

Ce message doit être entendu. La gauche, notamment le Parti socialiste, doit tirer toutes les leçons de cette élection municipale partielle dans une région populaire, très durement frappée par le chômage, par d’explosion de toutes les formes de précarité.

Ce soir, à Hénin-Beaumont, je crois qu’il y a d’abord un appel à une gauche rassemblée sur ses valeurs, avec une exigence d’équité, d’honnête, de transparence. Une gauche en capacité de porter un projet audacieux face au chômage et de le mettre en œuvre.

La quasi-totalité des forces de gauche, dont le Parti communiste français dès dimanche soir dernier, ont appelé à faire barrage au Front national. On ne tergiverse pas en de pareilles circonstances. Pour ne plus connaître une telle menace, pour battre la droite durablement, les forces progressistes doivent se doter d’un projet d’avenir, constituer les fronts les plus larges possibles sur des objectifs politiques clairs à la hauteur des enjeux, et des majorités politiques pour agir.

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3 juillet 2009 5 03 /07 /juillet /2009 14:27

700.000 personnes, dont la chanteuse américaine Liza Minnelli, ont défilé à Paris le 27 juin 2009 à l'occasion de la marche des Fiertés LGBT.
Notre parti était présent dans le cortège et notamment le collectif "Fièr-e-s et Révolutionnaires" qui regroupe des communistes et des sympathisant-es qui luttent contre les discriminations liées à lorientation sexuelle et l'identité de genre, et pour l'égalité des droits.

La vidéo  et les photos :

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2 juillet 2009 4 02 /07 /juillet /2009 20:56
 
Afin de poursuivre et d’amplifier la démarche du Front de Gauche, le Parti Communiste Français, le Parti de Gauche et la Gauche Unitaire organisent :
Le Vendredi 3 juillet 2009 à partir de 18h
A La Mutualité salle Richelieu

Un forum-débat Intitulé « Trois heures pour une alternative de gauche » articulé autour de trois thèmes. Un certain nombre de personnalités, actrices et acteurs de la vie sociale ont accepté-e-s d’ouvrir les trois débats par leurs réflexions :

1. La transformation sociale dans notre société, débat introduit par Annick Coupé (Union syndicale Solidaires- SUD) Maryse Dumas (CGT) et Gérard Aschieri (FSU)

2. Ecologie, un nouveau type de développement, débat introduit notamment par Martine Billlard (Députée L’écologie/Les Verts) et Aurélie Trouvé (Co Présidente d’ATTAC)

3. Droits et libertés, débat introduit par Evelyne Sire-Marin (ancienne présidente du syndicat de la magistrature), Roland Gori (professeur de psychothérapie à l’université, initiateur de « l’Appel des Appels ») et Dominique Noguères (Ligue des droits de l’Homme)

Tous ces débats auront lieu en présence de Marie-George Buffet, Jean-Luc Mélenchon et Christian Picquet qui réagirons sur ces différents thèmes.

L’ensemble de celles et ceux qui se sont réunis dans des comités de soutien au « Front de Gauche » sont invités à participer aux débats.

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28 juin 2009 7 28 /06 /juin /2009 11:16

Six mois après l’annonce de la cession de 34 000 logements, des questions subsistent. De gauche à droite, les élus dénoncent un scandale d’État. Une commission d’enquête est réclamée.


En 2007, la société immobilière Icade et l’architecte Dominique Perrault lançaient à Lille un projet d’immeuble « mille-feuilles ». Des commerces, des bureaux, des logements, le tout finement superposé et favorisant les flux, tout en évitant soigneusement que chaque acteur ne se croise… Aujourd’hui, tout porte à penser que la société gère ses affaires de la même manière. La vente des 34 000 logements, construits à l’époque grâce à l’argent public, sur des terrains cédés pour un franc symbolique, relève de l’imbroglio le plus total. Pour tenter d’y voir clair, les parlementaires communistes, républicains et du Parti de gauche demandent la création d’une commission d’enquête. « Il faut restituer cette affaire dans le contexte affairiste du régime, explique Jean-Pierre Brard, député de Seine-Saint-Denis. À l’initiative du député Patrick Ollier (UMP), nous avons auditionné le directeur d’Icade. Un “Rastignac” qui nous a expliqué qu’il devait servir des dividendes à ses actionnaires… » Retour sur une affaire complexe, dont tous les mystères ne sont pas éclaircis.

La deuxième vie d’Icade

À compter de 2003, la société Icade, filiale de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), ouvre son capital à hauteur de 37 % à des actionnaires extérieurs. Trois ans plus tard, en 2006, Icade fait même son entrée en Bourse… et commence à céder en bloc ses logements. Des cessions qui coïncident avec sa transformation en société d’investissement immobilière cotée (SIIC). La vente de la totalité du pôle logement, soit 34 000 unités, vise, dit-on, à réorienter les activités du groupe vers l’immobilier tertiaire, jugé plus rentable. Toutefois, la simple annonce de cette cession fait grimper le titre en Bourse. Parmi les actionnaires, un fonds d’investissement irlandais se montre particulièrement actif : « Ce fond détient simplement 3 % du capital mais exige des rendements afin de valoriser sa participation. Il semble qu’il souhaite se retirer à l’occasion de la cession du parc immobilier. C’est le principal problème de la CDC qui ne le contrôle pas. Ceci dit, il reste très minoritaire », détaille Jean-Philippe Gasparotto, secrétaire général de l’union des syndicats CGT du Groupe Caisse des dépôts.

Controverse sur le prix de vente

Officiellement, la cession de ces 34 000 logements avait pour but d’alimenter le fonds stratégique d’investissement, créé dans le cadre du plan de relance. Pourtant, la piste d’une vente purement spéculative ne peut être écartée. De fait, le nouveau statut d’Icade (désormais SIIC) lui permet de reverser 50 % des plus-values réalisées lors des cessions de biens à ses actionnaires privés.

Dans son dernier rapport annuel, Icade estimait ce patrimoine à près de 3 milliards d’euros. Surprise du côté des élus qui se sont empressés d’éplucher les comptes de la société. En 2006, la valeur de ce patrimoine de 42 000 logements était estimée à moins de 1,5 milliard d’euros. Or, entre-temps, Icade s’est délesté de 10 000 logements. Ni l’introduction en Bourse, ni l’explosion du marché immobiler ne peuvent suffire à expliquer cette hausse vertigineuse. Certains experts estiment, pour leur part, que le groupe aurait pu sous-évaluer le patrimoine afin de faciliter l’entrée en Bourse. « En 2006, le parc a été évalué en valeur locative, c’est-à-dire pour ce qu’il allait apporter en loyers. On nous annonce parfois une décote de 10 à 15 %, c’est la technique du marchand de puces de Saint-Ouen qui consiste à faire croire aux bailleurs qu’ils réalisent une bonne opération », détaille Stéphane Peu, président de Plaine Commune habitat.

De plus, les locataires ne cessent de dresser l’inventaire à la Prévert des travaux à réaliser. Les derniers datent de 1983 et avaient, qui plus est, été financés à hauteur de 350 millions de francs par l’État et les collectivités. Ainsi, le consortium de bailleurs candidats au rachat, conduit par la SNI, autre filiale de la CDC, devra en plus financer la rénovation. Et la sénatrice du Val-de-Marne, Odette Terrade, de s’interroger : « Les HLM ont-ils vocation à racheter un patrimoine déjà amorti alors que ça ne créera pas un seul logement supplémentaire dans un pays qui en manque terriblement ? »

Le rôle de l’État en question

« Tel Ponce Pilate en son temps, l’État se lave les mains de cette affaire », résume Jean-Jacques Porcheron, l’animateur du collectif logement de l’association nationale des élus communistes et républicains, en une formule lapidaire. Alors qu’elle rencontrait les maires d’Île-de-France, la désormais ex-ministre du Logement n’avait pas hésité à jouer la carte du laisser-faire. « Mme Boutin nous a répondu qu’Icade étant cotée en Bourse, et privée pour une part, elle ne pouvait intervenir dans ce dossier », raconte Marie-Hélène Amiable, maire de Bagneux. Ainsi, Christine Boutin a refusé toute subvention aux communes afin de les aider à financer le rachat du patrimoine. « Elle a précisé que les subventions n’étaient envisageables que pour la construction », s’indigne Marie-Hélène Amiable. Et rien n’indique pour l’instant que le remplacement de Christine Boutin par Benoist Apparu puisse changer la donne.

D’autant que, de son côté, Éric Woerth, le ministre du Budget, reste sourd à l’inquiétude des communes quant à la perte de recettes fiscales représentée par cette vente. Car, dans l’hypothèse où les logements entreraient dans le parc social, ils se verraient de fait exonérés de taxe foncière pendant quinze à vingt ans. Rejouant la partition de la maîtrise comptable, Éric Woerth a lancé l’idée d’un éventuel reversement de compensations via l’enveloppe des dotations de l’État aux collectivités. Pourtant, si la vente se réalise, l’État touchera également des dividendes via la Caisse des dépôts. « Ma cassette, ma cassette », s’alarmait Harpagon. Et pour cause, le pactole est juteux.

Source : l'Humanité, Lina Sankari


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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 21:24
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17 juin 2009 3 17 /06 /juin /2009 20:04

Nous avons reçu ce message relatif à la fermeture de l'unité de soins gériatriques de longue durée de l'hopital Stell à Rueil Malmaison :

Les familles viennent d'apprendre la fermeture de l'unité de soins gériatriques longue durée de l'hopital Stell à Rueil Malmaison : 40 personnes agées, voire très agées, vont devoir trouver un nouveau lieu d'accueil en sachant que d'autres USLD devraient fermer dans le 92.

Montrez-nous que vous êtes présents et déplacez-vous dans ce service, regardez et écoutez : 40 histoires individuelles, des familles, une équipe de soignants, des liens qui se tissent dans des conditions difficiles car dans ce lieu, nous devions accompagner jusqu'au bout nos parents grabataires, dépendants, fragiles et malgré les manques de moyens, de personnel..., nous avions admis que c'est ici que la plupart devrait se séparer de la vie. Et aujourd'hui, un simple courrier nous demande de trouver un autre lieu et de déménager. Comme cela, simplement....

Oui, c'est traumatisant pour beaucoup, oui, c'est scandaleux mais nous sommes seuls à le crier, alors où en êtes-vous ?

Venez relayer notre message et soyez le relais de nos indignations.

 

Dans cet espoir,

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15 juin 2009 1 15 /06 /juin /2009 12:40
Les manifestations syndicales n’ont pas fait le plein samedi. Mais les français sont de plus en plus mécontents de la politique économique. Ils cherchent les moyens de faire reculer le gouvernement.

À la recherche d’un nouveau souffle


Mobilisation. La participation aux cortèges syndicaux a nettement faibli samedi, mais plus de 6 Français sur 10 jugent mauvaise la politique gouvernementale.


Les responsables syndicaux
ne se voilaient pas la face samedi. Avec quelque 150 000 manifestants dénombrés dans 159 défilés et rassemblements, selon la CGT (71 000, d’après la police), la cinquième journée de mobilisation unitaire interprofessionnelle, depuis le début de l’année, a connu une participation « manifestement en dessous de nos attentes », reconnaissait Bernard Thibault. « Pas une réussite » en termes numérique, opinait son homologue de la CFDT, François Chérèque. On était loin, en effet, des millions de personnes mobilisées le 29 janvier et le 19 mars, ou même de l’exceptionnel 1er Mai (1,2 million de manifestants). Et les commentaires allaient bon train sur les raisons de cette décrue. « Ce résultat doit s’apprécier alors que la plupart des médias ont fait l’impasse sur ce rendez-vous revendicatif et qu’une voix syndicale a contribué, ces derniers jours, à semer le doute sur la pertinence de cette mobilisation », fait valoir la CGT. Une allusion aux déclarations du leader de Force ouvrière, Jean-Claude Mailly, jugeant que « les manifs à répétition, ça ne marche pas » et plaidant pour une grève nationale de vingt-quatre heures.


Débattue parmi les manifestants, la question des formes de l’action
, de leur efficacité, alors que ni le gouvernement ni le patronat n’ont abandonné leur intransigeance, n’était pas le seul sujet de discussion. Les résultats des élections européennes, dont l’UMP a pu se prévaloir pour y voir un encouragement à poursuivre sa politique, ont sans doute aussi pesé sur la mobilisation. Pour beaucoup, cependant, cette journée a permis d’affirmer la continuité d’un mouvement social inscrit dans la durée, en attendant une rentrée qui pourrait être très offensive. « L’essentiel, c’était de marquer le coup », avant la prochaine rencontre, début juillet, entre les syndicats et le chef de l’État sur le bilan des mesures prises par le gouvernement, notait François Chérèque. Alors qu’il doit présenter, le 22 juin, devant le Congrès convoqué à Versailles, ses orientations en matière de politique économique et sociale, Nicolas Sarkozy ne saurait en tout état de cause se méprendre sur l’état d’esprit des salariés. S’ils n’ont pas massivement pris part aux cortèges, un sondage BVA-les Échos révèle que 74 % des Français estimaient « justifiée » la journée d’action de samedi, même si seule une minorité jugeait que cela pourrait « inciter le gouvernement » à modifier ses choix. Une fois encore, comme on l’a constaté à maintes reprises ces dernières années, ils auraient manifesté « par procuration ». Les manifestants de samedi « ont été les porte-parole d’une large part de la population qui demeure majoritairement sévère » à l’égard de la politique du gouvernement et du comportement du patronat, analyse ainsi la CGT.


Une interprétation corroborée par un autre résultat du même sondage BVA : plus de 6 Français sur 10 jugent « mauvaise » la politique économique de l’équipe Sarkozy-Fillon. Certes, cela fait plus de quatre mois, déjà, que les Français expriment un jugement négatif, note l’institut, avant d’observer : « On aurait toutefois pu s’attendre à ce que ces jugements s’améliorent au moment même où l’UMP remportait un succès spectaculaire lors des élections européennes. Or, c’est plutôt l’inverse qui se produit, avec une impopularité en augmentation de 2 points, qui s’établit désormais à 61 % de mauvaises opinions. » On le voit, si le mouvement social doit trouver un nouveau souffle, la confrontation sur les meilleures solutions pour sortir de la crise est loin d’être close.


Yves Housson
Source : l'Humanité

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12 juin 2009 5 12 /06 /juin /2009 12:49

L’ampleur des mobilisations du 29 janvier, 19 mars, 1er mai ont permis d’obtenir des débuts de résultats. Ceux-ci sont très insuffisants, au regard des revendications exprimées le 5 janvier 2009, et alors que la crise continue de s’aggraver. Patronat et gouvernement doivent engager négociations et concertation sur les sujets prioritaires les plus urgents.


Le gouvernement doit mettre le « social » au centre de sa politique économique et :

· Revaloriser le SMIC, les minima sociaux, les pensions et les retraites, conditionner toute aide publique, tout allègement de cotisations sociales à des contreparties mesurables en matière d’emploi, de qualification et de rémunération,

· Mettre en œuvre un plan ambitieux en faveur de l’emploi et de la qualification des jeunes,

· Prolonger l’indemnisation des demandeurs d’emploi en fin de droit. Donner à Pôle-Emploi les moyens nécessaire à l’accompagnement personnalisé des demandeurs d’emplois

· Supprimer la défiscalisation des heures supplémentaires et le bouclier fiscal, mettre à contribution les stock-options au titre de la solidarité, consacrer ces ressources nouvelles au financement des mesures sociales,

· Renoncer dans les fonctions publiques aux suppressions d’emplois prévues pour 2009 et 2010, s’engager à résorber la précarité et tenir ses engagements en matière de négociations salariales. Ce sont des conditions pour des services publics de qualité qui répondent aux besoins de la population.


Le patronat doit, enfin, assumer ses responsabilités et engager des négociations sur :

· Les politiques de salaires, les politiques industrielles, l’évolution de l’emploi au niveau des branches professionnelles, les rapports donneurs d’ordre – sous-traitants, pour maintenir et développer l’emploi et résorber la précarité,

· Un accès facilité pour tous au chômage partiel, l’amélioration de la durée et du niveau de son indemnisation, associés à des formations qualifiantes,

· La répartition et la redistribution des richesses produites dans les entreprises, l’amélioration des salaires et la réduction des inégalités, notamment entre les femmes et les hommes, la reconnaissance des qualifications, l’utilisation des aides publiques au bénéfice de l’emploi,

· Les mesures favorables à l’emploi des jeunes permettant leur insertion sociale et professionnelle durable,

· Le respect et l’amélioration des droits syndicaux et des institutions représentatives du personnel.


Le gouvernement doit renoncer à l’extension du travail du dimanche, garantir à l’hôpital public les moyens de ses missions, développer le logement social, encadrer le prix des loyers,.


L’amélioration du pouvoir d’achat des salariés en faveur de la relance par la consommation, des politiques industrielles et économiques en faveur d’un développement durable et coordonné au niveau européen sont autant de moyens pour répondre immédiatement et structurellement à la crise.



MANIFESTATION SYNDICALE UNITAIRE A PARIS
SAMEDI 13 JUIN A 14h00
De Bastille à Montparnasse



 
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12 juin 2009 5 12 /06 /juin /2009 12:33

 
Le Conseil Constitutionnel a censuré mercredi le pouvoir, octroyé à une autorité administrative indépendante nouvellement créée, l’Hadopi, de couper l’accès à internet en cas de téléchargements illégaux de fichiers musicaux et de films.


Battue à l’Assemblée Nationale, contredite par le Parlement européen, censurée par le Conseil Constitutionnel et dénoncée par des milliers d’internautes, il est évident que, mise à part Christine Albanel, personne ne veut de la loi Hadopi.


Pourquoi un tel acharnement à vouloir faire passer une loi inutile, dangereuse et inapplicable ? Christine Albanel mène un combat archaique pour maintenir un modèle dépassé. Elle ferait mieux de mettre toute son énergie à travailler sur les nombreuses pistes qui existent aujourd’hui, comme la Taxation des profits des entreprises de télécommunication, la plateforme publique de téléchargement ou encore la licence globale.


Il est temps pour le gouvernement d’arrêter le massacre. Le message du Conseil Constitutionnel est clair : Hadopi... raté !


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