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Le PCF : votre bien commun

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3 mai 2009 7 03 /05 /mai /2009 09:45

La crise écologique est majeure. Les rapports du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) et du Groupe intergouvernemental d'étude du climat (GIEC) en témoignent. Le risque est tel que si nous ne faisons rien, la possibilité de la vie humaine sur terre est elle-même menacée à terme.

Face à cette crise écologique, la nécessité de politiques supra-nationales est évidente, car les choix effectués dans un pays ont des conséquences sur les autres (Tchernobyl ne s'est pas arrêté aux frontières de la France... et le mode de développement américain pèse d'un poids très lourd sur le climat planétaire). Il faut donc des législations acceptées par tous pour éviter les phénomènes bien connus de passagers clandestins par lesquels les Etats qui font des efforts sont pénalisés par rapport à ceux qui n'en font pas dans la compétition internationale.

Pour lire la suite, cliquez ICI 

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2 mai 2009 6 02 /05 /mai /2009 14:26

Pour la première fois depuis 1948, tous les syndicats ont défilé ensemble. Au moins 160 000 à Paris. Plus d'un million dans toute la France. Une journée importante dans l'histoire sociale, qui comptera pour la suite du mouvement.



La vidéo :


Les photos de Gérard Valck :

 



D'autres photos ICI

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30 avril 2009 4 30 /04 /avril /2009 22:03

Brice Hortefeux, ministre du Travail, a déclaré ajourd'hui que les manifestations massives prévues pour le 1er mai avaient un « air de déjà vu ».

S'il est vrai que les annonces du gouvernement de Nicolas Sarkozy provoquent souvent la colère des organisations syndicales, c'est simplement parce qu'elles ne répondent pas aux aspirations des salariés. L'unité syndicale qui ne se dément pas depuis plusieurs semaines est bel et bien historique.

Cependant, nous prenons acte d'un aveu remarquable : ce gouvernement qui ne voyait rien quand il y'avait une grève ou une manifestation en France, avoue finalement en avoir « déjà vue ».

En tout cas, avec des déclarations aussi nocive pour les salariés et les syndicats, il est plus que certain que le Ministre du travail ne sera pas à la fête le 1er mai.

Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF

Paris, le 30 mai 2009

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29 avril 2009 3 29 /04 /avril /2009 14:17

Manifestation parisienne du 1er mai : le rendez-vous commun Front de gauche est fixé à la jonction du Boulevard Saint-Michel et de l’Avenue de l’Observatoire (métro Port-Royal) à 14h00.

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28 avril 2009 2 28 /04 /avril /2009 11:22

Après les mobilisations exceptionnelles des 29 janvier et 19 mars dernier, tous ensemble pour un 1er Mai de convergence des luttes et de transformation sociale !
La colère est puissante et ne se dément pas. Des millions de salariés ont manifesté lors de grandes journées d'action unitaire. Des luttes se multiplient dans les entreprises pour défendre l'emploi ou pour les salaires.

Stocks options, parachutes dorés, bonus, rémunérations scandaleuses des grands patrons, annonces quotidiennes de licenciements : c'est insupportable !
(....Pour lire la suite cliquez sur l'affiche)

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27 avril 2009 1 27 /04 /avril /2009 11:17

Une, deux, trois, quatre... cent, cent une, cent deux...
Cinq cent quarante-neuf, cinq cent cinquante, cinq cent cinquante et une...

Tandis que l'enseignement supérieur est dans sa douzième semaine de mobilisa-tion, eux comptent les heures sur la place de l'Hôtel-de-Ville à Paris. Chercheurs, enseignants, étudiants, ils sont partis à la rencontre du public. De ces passants découvrant leur lutte, un certain nombre franchissent le pas et viennent élargir le cercle de ces empêcheurs de casser en rond. « Pouvoir méprisant, réponse obstinée », dit l'un de ces participants à la ronde infinie des obstinés qui fait désormais des petits en province et vient enrichir les formes d'action pour défendre l'éducation.

Il faut dire que le mépris n'a pas commencé hier. Déjà, en 2004, ce pouvoir de droite suscitait le profond mouvement Sauvons la recherche. Quatre ans et un nouveau président plus tard, ce dernier réduisait les travaux du prix Nobel de physique Albert Fert à la fabrication de l'iPod. Ce même 28 janvier 2008, le chef de l'État promettait, la main sur le cœur : « Rien ne se fera sans concertation, rien ne se fera au détriment des jeunes chercheurs, rien ne se fera au détriment de nos meilleures équipes, rien ne se fera au détriment de nos meilleurs scientifiques. Rien ne se fera qui risquerait de nous faire perdre les acquis de notre longue tradition d'excellence. » Un an plus tard, le grand scientifique lâchait, en une tribune signée de deux autres chercheurs de renom : « dangereuse, hypocrite et contre-productive » pour qualifier les « réformes » sarkozystes appliquées à leur domaine de compétence et menées par Valérie Pécresse.

Casse du CNRS, remise en question du statut d'enseignant-chercheur, postes supprimés comme dans l'ensemble de la fonction publique, promotion de quelques gros centres universitaires « autonomes » au détriment des autres, établissements mis sous la tutelle de « patrons » aux pouvoirs discrétionnaires, remise en question du financement des instituts universitaires de technologie, fermeture des instituts universitaires de formation des maîtres au profit de filières sélectives et sans apprentissage du terrain... Si la loi dite LRU a pu passer à la faveur de la période d'électrochocs postélectoraux à l'automne 2007, la concrétisation de sa logique vient renforcer un mouvement qui vient de loin, et élargir sa base.

« Obstinés » ils sont et savent qu'ils ont de bonnes raisons de l'être. La crise du système capitaliste et son ampleur légitiment ceux qui refusent la mise en coupe réglée des outils publics par la logique de la rentabilité financière qui est à l'origine de la déroute en cours. De même que pour les entreprises, les salariés, les retraités, les travailleurs sans emploi, les jeunes, sont posées les questions d'une vraie sécurisation des parcours professionnels, d'un autre usage de l'argent et des bénéfices issus du travail, de pôles bancaires publics et de droits nouveaux pour les élus et les salariés pour investir dans des dépenses socialement utiles, il est aussi urgent de défendre l'indépendance de la recherche, la force de son caractère public, le lien avec des filières de formations diversifiées et, là aussi, d'inventer des ressources transparentes qui respectent ces missions.

L'obstination de ces «(f)rondeurs  est au service d'une conception éminemment moderne du rôle de la recherche et de l'enseignement supérieur dans un pays développé et riche comme la France. Ils sont les maillons d'une chaîne qui se mobilise désormais « de la maternelle à l'université » et rencontre au-delà bien d'autres mouvements et luttes.

C'est bien cette société-ci qui ne tourne pas rond.

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27 avril 2009 1 27 /04 /avril /2009 11:10

Regardons autour de nous. Écoutons. Et acceptons l'ampleur de ce qui se passe dans les entrailles d'un pays qui gronde... À la faveur d'un climat propice à tous vents, où s'opposent plus férocement qu'on ne le croit solidarités et injustices, combat social et populisme, peuple en sous-France et caste d'en haut, tout cela dans la perspective d'un 1er Mai d'ores et déjà historique, chacun a bien compris que l'exigence d'une unité syndicale (et bien au-delà) reste une tâche ardue mais absolument indispensable. Pierre angulaire de tout édifice social collectif crédible et surtout durable... Avouons-le simplement : le fond de l'air, ces temps-ci, balaie bien des idées reçues. Si le décrochage imaginaire de nos univers mentaux provoque toujours crise et perte de sens, la contestation du modèle libéral globalisé - au moins dans son esprit - incite à un certain optimisme.

Jamais les citoyens de tous horizons n'ont à ce point porté la contradiction au cœur du système, rejetant l'idéologie même de nos sociétés devenues de plus en plus des « sociétés d'individus » à but lucratif, vendues au commerce et à la concurrence. Sociétés à partir desquelles l'incertitude augmente d'une manière exponentielle puisque les régulations collectives font désormais défaut pour maîtriser tous les aléas de l'existence. Chômage de masse. Précarité. Morcellement du monde du travail. Éclatement du paysage social. Destruction des structures familiales. Inversion des solidarités générationnelles... La prise de conscience suffit-elle ? La colère est-elle bonne conseillère ? Après les mobilisations du 29 janvier et du 19 mars, qui ont rassemblé quelque 2,5 puis 3 millions de personnes dans les rues, l'appel unitaire de l'ensemble des organisations syndicales (CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA), pour un troisième round le 1er Mai prochain, laisse augurer un prolongement unique dans l'histoire sociale contemporaine. Et pour cause. Le 1er Mai ne sera jamais une date ordinaire. Pour Georges Séguy, « Il n'est pas excessif de qualifier d'historique cette unanimité syndicale, non seulement parce qu'elle est sans précédent, mais aussi et surtout parce qu'elle est fondée sur un accord dont le contenu ne se limite pas à des objectifs revendicatifs communs mais avance les propositions sociales, économiques et fiscales nécessaires à leur concrétisation... ».

Pendant ce temps-là, Sarkozy et ses valets du pouvoir tentent de temporiser en attisant les violences engendrées par les réalités de la vie quotidienne et, au mieux, voient dans les larmes ravalées des travailleurs floués l'expression d'un désespoir... Erreur : il ne faut jamais confondre des exaspérations stériles avec des comportements de pré-révoltes. Depuis 1995, les Français les plus attentifs aux évolutions sociales savent qu'une véritable politisation découle souvent de l'étendue et de l'intensité du mouvement social. Est-ce en cours ? Au moins une chose s'affirme. Par son caractère singulier, le printemps 2009 ne ressemblera pas à Mai 68. Mais que certains ne se réjouissent pas trop vite. Les colères exprimées dans tous les secteurs de la société, associées à la certitude que le pire pourrait être évité si les politiques conduites étaient celles de la redistribution sociale et non celles des clans et des privilégiés, peuvent modifier le rapport de forces. La psychologie collective très particulière de cette période de crise en témoigne.

La participation massive de forces nouvelles dans les luttes n'est-elle pas le signe, elle aussi, d'une puissante possibilité d'union, inédite et innovante ?

 

 

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25 avril 2009 6 25 /04 /avril /2009 10:22

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25 avril 2009 6 25 /04 /avril /2009 09:18

 

A défis exceptionnels initiative exceptionnelle. Alors que la crise étend ses ravages et que le chômage explose, Sarkozy et son gouvernement restent sourds aux attentes sociales. Pour se faire entendre, il faut frapper plus fort.  C'est le sens de ce 1er mai unitaire à l'appel de l'ensemble des organisations syndicales. Du jamais vu depuis longtemps ! Le Front de Gauche y apporte tout son soutien et appelle à la mobilisation pour assurer son plein succès.


Après le 29 janvier et le 19 mars, c'est une nouvelle occasion de manifester avec force la colère de toutes celles et de tous ceux qui ne sont en rien responsables e la crise mais à qui les riches et les puissants voudraient faire payer la facture. Sarkozy refuse de prendre des mesures efficaces  contre les licenciements ou  d'augmenter des salaires mais défend fermement son bouclier fiscal qui a permis en 2008 de redistribuer aux 756 contribuables les plus favorisés 288 millions d'euros, soit 381 000 euros en moyenne par personne, l'équivalent de trente années de SMIC. Et jour après jour, les scandales patronaux s'accumulent : rémunérations extravagantes, stock-options, bonus, retraites chapeaux. Les hauts dirigeants ne connaissent pas la crise, Sarkozy veille sur leurs intérêts !


Réunis au G20, les chefs d'Etats et de gouvernement n'ont rien résolu sur le fonds. En guise de « moralisation » du capitalisme, on a des « mesurettes » cosmétiques sur les paradis fiscaux. En guise de relance, on donne des moyens au FMI pour qu'il continue à conditionner ses aides à la poursuite des politiques économiques libérales. Rien de sérieux n'a été décidé pour lutter contre la logique d'accumulation des profits qui a nourri l'explosion de la spéculation, un des facteurs déclencheur de la crise. Faut-il s'étonner que les gouvernements qui ont mis en oeuvre les politiques qui ont conduit la planète dans le mur ne fassent pas les choix de réorientation qui s'imposent ? C'est aux peuples de se faire entendre partout dans le monde. D'autres choix sont possibles fondés sur la satisfaction des besoins sociaux par un autre partage des richesses, sur une croissance écologique respectueuse des ressources de la planète, sur un développement des échanges respectueux du progrès social.


En difficulté devant le mécontentement social, Sarkozy a recours aux vieilles recettes de la diversion et de la répression. En ressortant le thème de l'insécurité, il cherche à détourner l'attention sur d'autres sujets que les questions sociales. En dénonçant le durcissement des actions des salariés, il cherche à diviser le front syndical. Ne nous y trompons pas, c'est une stratégie d'affrontement que prépare le pouvoir face aux luttes sociales. Le ton était donné par son discours de Saint-Quentin où, devant les militants UMP, il s'était exprimé davantage en chef de bande qu'en chef d'Etat. Il récidive avec sa dénonciation des séquestrations de chefs d'entreprise et son premier Ministre Fillon a qualifié de « sabotage » les coupures d'électricité. Le ton est donné, la tentative de criminaliser le mouvement social est là. La riposte unitaire s'impose pour refuser les atteintes aux libertés, et pour exiger la satisfaction des revendications.


Mais au-delà, c'est bien la question de l'alternative politique qui est posée. Une nouvelle perspective à gauche est nécessaire pour tourner la page des années libérales. Et pour cela, il faut changer la gauche pour que prévalent en son sein les volontés de la transformation sociale. C'est l'ambition du Front de Gauche qui a fait le choix de l'unité et du rassemblement pour offrir un prolongement politique à l'unité réalisée dans les luttes et les mobilisations. Les élections européennes du 7 juin en fournissent l'occasion. Les grands partis et les grands médias ne s'y trompent pas : en organisant le silence autour de cette échéance, ils veulent éviter qu'elle se transforme en vote sanction contre les politiques libérales fauteuses de crise et en vote d'alternative pour une autre politique en France et en Europe. Alors, comme lors du référendum du 29 mai 2005, déjouons leurs médiocres calculs et créons à nouveau la surprise ! 

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22 avril 2009 3 22 /04 /avril /2009 09:33
Suite à la rencontre des 5 Confédérations,et 3 syndicats nationaux le 30 mars dernier, les organisations syndicales régionales d’Ile-de-France : CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE/CGC, UNSA, FSU, Solidaires se sont réunies afin de poursuivre la mobilisation engagée les 29 janvier et 19 mars derniers.


Les 8 Organisations franciliennes s’entendent pour faire du 1er mai 2009, un nouveau temps fort pour peser sur le gouvernement et le patronat et faire entendre les revendications exprimées dans la plateforme commune du 5 janvier 2009.

Elles appellent leurs organisations locales, dans les départements, les entreprises et les administrations d’Ile de France à rencontrer les salariés, à organiser des assemblées générales unitaires et à rechercher avec eux les modalités d’action les plus efficaces, pendant tout le mois d’avril pour réussir cette nouvelle période de mobilisation et la nouvelle étape de revendications syndicales du 1er mai.


C’est pourquoi, les 8 Organisations syndicales franciliennes CGT, CFDT, FO, CFE/CGC, CFTC, FSU, UNSA, Solidaires appellent les salariés, les demandeurs d’emploi et les retraités à participer à la manifestation régionale qui se tiendra, le vendredi 1er mai 2009, à 14 heures, à Paris, de Denfert-Rochereau à la Bastille.

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