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Le PCF : votre bien commun

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25 janvier 2009 7 25 /01 /janvier /2009 14:48

 

MAINTENANT, UNE VOIE POLITIQUE POUR LA PALESTINE

Les armes se sont provisoirement tues et les bombes arrêtent de pleuvoir sur la bande de Gaza. C'est, enfin, une bonne nouvelle pour ses habitants. Même s'il est illusoire de penser que la vie peut reprendre son cours normal sur un champs de ruines et après tant de morts.

C'est la 7ème guerre que supporte le peuple palestinien du fait de l'absence de règlement politique de la question de la Palestine. Les USA, l'Europe, la France, la communauté internationale portent une lourde responsabilité.

Les dégâts liés à l'agression israélienne d'une violence jamais vue, ont renforcé une situation humanitaire dans la bande de Gaza intolérable. Sa population est privée de tout: eau potable, électricité, soins, médicaments, vivres.... La situation sanitaire est insoutenable alors même que, déjà avant l'offensive, les ONG déploraient un état catastrophique du fait du blocus. Beaucoup d'équipements publics, d'infrastructures et d'habitations sont en grande partie détruits. On évoque le chiffre de millions de dollars de dégâts.

Il faut d'urgence un plan international d'aide humanitaire et de reconstruction de Gaza. Et lever le blocus économique, ce véritable siège, sous lequel le peuple de Gaza étouffe depuis des mois.

Plus de 1300 morts, 85% civils, dont 410 enfants, pour une population d'un million et demi d'habitants; des hôpitaux, des écoles bombardés; l'usage d'armes interdites comme des bombes au phosphore dans des zones urbaines... De grandes organisations internationales, telle Amnesty International, parlent de crimes de guerre selon l'article 8 du Statut de la Cour pénale internationale. Un collectif d'entre-elles a porté plainte contre Israël auprès de la Cour pénale internationale.

Un acte de guerre de ce type ne peut être approuvé ni même toléré par la communauté internationale. Le gouvernement Français, l'Europe doivent agir pour des sanctions à l'égard d'Israël. L'accord d'Association, Union européenne/Israël, doit être suspendu tant qu'Israël ne respectera pas les résolutions de l'ONU, comme l'avait demandé, sans effet, d'ailleurs, le Parlement européen il y a déjà quelques années.

Le cessez le feu reste fragile. L'armée israélienne contrôle les points de passages, maintient le blocus et interdit la libre circulation des personnes. Les canons bombardent les bateaux de pêche qui sortent des ports. La paix n'est pas encore là et Israël n'exclue aucune nouvelle intervention.

Pour protéger le peuple palestinien, il faut de toute urgence, qu'une force multinationale d'interposition soit déployée sous l'égide le l'ONU.

L'intervention israélienne a tout aggravé. Elle n'a évidemment réglé ni la sécurité d'Israël, encore moins l'avenir de la Palestine. La sécurité ne peut se construire que dans la justice et le respect du droit. La France, l'Europe et la Communauté internationale doivent peser pour une voie politique pour une paix juste, pour le respect des nombreuses résolutions de l'ONU qu'Israël bafoue.

II faut une Conférence internationale décidant d'un processus politique pour un Etat palestinien indépendant dans les frontières de 1967 avec Jérusalem-Est comme capitale, à côté de l'Etat d'Israël.

Des délégations nombreuses sont actuellement à Gaza, dont celles du PCF avec Francis Wurtz, Jacques Fath, Patrick Le Hyaric, notamment. Tous disent l'importance pour les palestiniens de la solidarité internationale. Il est essentiel ensemble de la poursuivre.

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23 janvier 2009 5 23 /01 /janvier /2009 18:27

La section des communistes de Rueil-Malmaison apporte son soutien à Lounis Ibadioune. La scandaleuse verbalisation dont il a fait l’objet pour vente de marchandise sans autorisation et sa convocation devant le tribunal est une nouvelle atteinte à la liberté d’expression dont le pouvoir actuel est coutumier. L’humanité dimanche n’est pas une marchandise mais un journal qui combat pour la démocratie, pour la liberté d’expression et pour le pluralisme des idées. C’est bien cela que le pouvoir actuel ne supporte pas. Ne laissons pas faire.

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15 janvier 2009 4 15 /01 /janvier /2009 21:37

ARRETONS LE MASSACRE DU PEUPLE PALESTINIEN !
ARRETONS LA BARBARIE CONTRE GAZA !


Les communistes de Rueil-Malmaison appellent à participer à la manifestation organisée à Nanterre par une vingtaine d'organisations, associations et partis politiques



 VENDREDI 16/1/09 A 18h30 PLACE DE LA BOULE
 (arrivée Place des droits de l'homme)

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14 janvier 2009 3 14 /01 /janvier /2009 22:42

  Cela fait maintenant trois mois que Nicolas Sarkozy prétend combattre la crise, et même refonder le capitalisme, et cela fait trois mois que les conséquences de la crise s’aggravent de jour en jour, que les vagues de licenciement déferlent, que le pouvoir d’achat dégringole.

Les perspectives de croissance et de chômage pour 2009 sont alarmantes.
Des dizaines de milliers de milliers d’intérimaires jetés comme des kleenex ces derniers mois à la rue n’ont aucune perspective.
Des dizaines de milliers de salariés de la filière automobile, cloués au chômage technique, viennent de passer les fêtes dans l’angoisse. 
Des milliers de PME sont en rupture de trésorerie.
Dans le secteur public, le gouvernement a fermé à double tour les portes de l’embauche. Alors que la crise démultiplie les besoins sociaux, l’hôpital public, l’éducation nationale et l’université, le secteur du logement et du bâtiment sont au point de rupture.
Les collectivités locales sont asphyxiées. Et partout, le pouvoir d’achat est berne, tirant toute la demande vers le bas.

 Les annonces gouvernementales ne sont susceptibles ni de prévenir les conséquences à venir de cette crise et ni de traiter ses racines.

1) Les marges de manœuvre financières dégagées depuis l’automne par les différents plans gouvernementaux - 428 milliards au total, pas mal pour un pays dont les caisses étaient soit disant vides – sont pour l’essentiel promises à reconstituer les capacités de crédit du système financier sans changer un iota aux critères d’utilisation de cet argent. Or tant que le crédit servira à soutenir les rendements financiers contre l’emploi et les salaires, la situation continuera à empirer.

2) Le plan de relance proprement dit soumis la semaine dernière par le gouvernement à l’Assemblée nationale est gravement insuffisant : tous les experts reconnaissent qu’il est l’un des moins ambitieux des pays capitalistes et que son impact sur la croissance sera très faible . Et surtout il ignore totalement la relance du pouvoir d’achat et de la consommation ( moins de 4 milliards d’euros en comptant large sur les 26 milliards annoncés), qui demeure pourtant l’un des plus sûrs moyens de tirer la croissance économique. 

3) Et de surcroît, le gouvernement poursuit une politique de « réformes » qui a des effets dépressifs extrêmement graves sur l’investissement et l’emploi public. Même quand les besoins éclatent au grand jour de manière dramatique comme pour l’hôpital, le gouvernement nie ces besoins. Et dans ce cas précis, pour justifier le maintien du projet loi Bachelot , il engage même une scandaleuse campagne de stigmatisation de l’hôpital public et de culpabilisation de ses personnels, comme on l’a vu hier avec les propos du secrétaire national à la santé de l’UMP dans le Journal du Dimanche. Le dicton n’a jamais été aussi approprié : quand on veut tuer l’hôpital public, on dit qu’il a la rage. C’est totalement irresponsable !  

 Dans ces conditions, l’échec d’hier sera celui de demain.

La prétendue relance Sarkozy n’aura pas lieu. La politique gouvernementale continuera à être une politique de l’échec. C’est une situation dangereuse pour les salariés, pour l’ensemble du monde du travail, pour le pays. Le Part communiste est totalement décidé à combattre cette politique. C’est pour nous la priorité des priorités. Notre Conseil national vient d’appeler à la mobilisation maximum en ce sens. Il a également décidé, à la suite de premières propositions avancées par ses parlementaires la semaine dernière, de verser au débat public national des propositions pour un véritable « plan d’urgence pour combattre la crise ».   Avant d’en dire un mot, je veux dire que le constat qui est le nôtre est de plus en plus partagé dans le pays. La mobilisation syndicale unitaire du 29 janvier et la plate-forme commune signée par tous les syndicats sont des signes qui ne trompent pas. A gauche, le ton semble lui aussi plus combatif et nous nous en félicitons, après avoir été parfois bien seuls à appeler à la riposte ces derniers mois.

Le Parti communiste appelle donc ses militants à être de toutes les ripostes, et à y porter des choix politiques alternatifs.

Nous tiendrons donc trois journées de mobilisation nationale les 22, 23 et 24 janvier pour faire éclater la vérité sur les dangers des prétendues mesures gouvernementales, pour organiser l’action avec les salariés, pour populariser nos propositions.

Nous serons présents durant ces trois jours dans tout le pays devant des dizaines de sites touchés par les suppressions d’emplois, devant des sièges de grandes banques, devant des grands centres commerciaux.

Le 24 janvier sera un temps fort sur la question de la santé et de la situation hospitalière. Nous voulons nous adresser largement aux usagers et les appeler à dire, aux côtés des personnels, « non au krach hospitalier, des moyens pour la vie, retrait de la loi Bachelot ! ». Nous éditons pour cela un quatre pages à plus d’un millions d’exemplaires.   Au lendemain des ces trois journées, nous poursuivrons notre mobilisation durant la semaine de la mobilisation syndicale unitaire du 29 janvier, à laquelle nous apporterons tout notre soutien.
Afin de favoriser les convergences, nous nous proposons également de rencontrer dans la prochaine période les formations politiques de gauche, les organisations syndicales, les associations avant d’échanger avec elles sur la situation et les actions à envisager.  

 Un plan d’urgence pour combattre la crise

  1) Première urgence : sécuriser l’emploi

Ce n’est pas aux salariés de payer la crise des marchés financiers. Les actionnaires veulent éponger leurs pertes et redresser au plus vite leurs rendements en licenciant, en écrasant le pouvoir d’achat, et en empochant les aides publiques. C’est au contraire à eux de mettre la main à la poche. Il faut mettre à contribution les profits et les dividendes, et mettre sous protection les salaires et l’emploi. Ne pas le faire, c’est handicaper encore toute possibilité de relance, car c’est l’emploi et non les dividendes qui crée la richesse.

Nous proposons donc :
- la suspension immédiate de tous les projets de suppressions d’emplois.
- la convocation, là où des problèmes se posent, de tables rondes quadripartites directions d’entreprises-Etat-élus-syndicats pour examiner des solutions alternatives aux politiques actuelles de réduction d’emplois ou de chômage technique . Les contre-propositions issues de ces tables rondes devraient être examinées prioritairement par les banques et les pouvoirs publics dans le cadre de l’utilisation des 428 milliards d’euros dégagés au nom de la relance.
- la mise à contribution des profits, des dividendes versés aux actionnaires, et la réduction des intérêts payés aux banques avant toute autre mesure. C’est le sens de la proposition de loi Bocquet déposée au Parlement.
- l’utilisation de crédit à taux zéro pour les PME en cas de rupture de trésorerie sous condition de renoncement aux suppressions d’emploi.
- des mesures de taxation dissuasive et de conditionnement des aides doivent être également mises en place contre les politiques de délocalisation.

2) Seconde urgence : relever fortement le pouvoir d’achat populaire.

Un relèvement conséquent des salaires, des retraites et des minima sociaux est le plus sûr moyen de la relance du pouvoir d’achat et du soutien à la consommation et à la demande.

Nous proposons donc :

- le relèvement immédiat du SMIC, des traitements de la fonction publique, du minimum vieillesse et des minimas sociaux.
- la convocation dans le premier trimestre 2009 d’une conférence nationale sur les salaires et le pouvoir d’achat, donnant le signal de négociations généralisées sur la revalorisation des salaires et des qualifications.
- une baisse significative de la TVA sur les produits de première nécessité et sur les transports.

  3) Troisième urgence : relancer l’investissement  

L’investissement public, en premier lieu...

En finir avec les politiques d’écrasement des dépenses publiques et sociales aurait le double mérite de répondre à des besoins criants et de créer les conditions d’une relance intérieure saine.

Cela nécessite pour commencer :
- l’’annulation des programmes massifs de suppression d’emplois publics et de rationnement des budgets publics, notamment dans l’éducation et la santé, qui devraient au contraire être des priorités en temps de crise .
- L’abandon des critères d’austérité du pacte de stabilité et la demande par la France de la renégociation en lieu et place de ce pacte d’un pacte européen pour l’emploi et la croissance.

Nous proposons également sans attendre : 
- Le lancement d’un plan national d’investissement dans la santé, dont la situation hospitalière révèle l’urgence absolue, comprenant notamment un plan d’urgence emploi-formation pour pallier le déficit criant de personnels.
- Un plan pluriannuel de construction de logements publics, à loyers modérés, au rythme de 180.000 par an pendant cinq ans pour résorber le déficit accumulé par rapport aux besoins.
- La modernisation du transport ferroviaire, en particulier le lancement d’un plan fret ambitieux , indispensable au plan économique comme au plan écologique.
- La relance d’une grande politique publique de la recherche, à l’inverse du démantèlement actuel. 

Cette mobilisation publique nécessite l’adoption de premières mesures fortes engageant la réorientation de la fiscalité avec notamment :
- L’annulation du paquet fiscal de l’été 2007. La modulation immédiate de l’impôt sur les sociétés pour pénaliser les entreprises qui continuerait à donner la priorité aux rendements financiers sur la préservation et la création de l’emploi.
- La baisse de la TVA sur les produits de première nécessité.

Enfin, il convient de mettre en, œuvre au plus vite :
- un plan d’aide exceptionnelle aux collectivités locales, dont l’activité est un élément essentiel de l’économie nationale, et dont l’asphyxie serait une catastrophe, avec notamment le remboursement immédiat de la TVA, la compensation des transferts et une réforme de la taxe professionnelle qui, à l’inverse de la suppression programmée par le gouvernement , dote les collectivités de ressources nouvelles.  

...L’investissement privé dans l’industrie et les services, ensuite.

Alors que des moyens d’intervention publique massifs ont été dégagés, 320 milliards pour le plan de refinancement bancaire, 40 milliards pour doter la Société de prise de participation de l’Etat, et 20 milliards pour le Fonds stratégique d’ Investissement, cet argent doit servir une forte relance de l’ Industrie et des services. Les vagues de licenciement massifs actuelles sont d’autant plus inacceptables que les grands groupes maintiennent des niveaux records de taux de profits (99 milliards de profits pour les groupes du CAC 40 en 2007 et 50 milliards de dividendes distribués).

Nous proposons notamment :
- une mobilisation nationale pour la filière automobile , et la mise en place d’une charte pour une industrie automobile durable et créatrice d’emplois en Europe, permettant notamment une lutte efficace contre les politiques de délocalisations et de dumping social et salarial des constructeurs.
- la relance, en lien avec l’effort de construction et de rénovation de logements sociaux, de toute la filière de la construction et du bâtiment. Pour soutenir cette relance du logement social, L’ensemble de l’épargne populaire (Livret A, Livret B, Livret Bleu, LDD [ex Codevi] et LEP) doit être à nouveau intégralement centralisée par la Caisse des dépôts et consignation. Livrer ces ressources, après la crise, aux critères laissés intacts du système bancaire et financier est une aberration. Ce plan de relance public du logement doit notamment accompagner par des prêts bonifiés un plan de réhabilitation pour mise aux normes énergétiques, notamment du patrimoine HLM. Générateur d’emplois, il peut permettre aux organismes HLM et aux collectivités de mettre en place des conventions d’utilité sociale avec les entreprises du BTP assurant un emploi local rendu notamment possible par un plan de formation aux métiers du bâtiment.
- un plan de soutien aux PME, avec notamment l’utilisation de crédit à taux zéro en cas de rupture de trésorerie en contrepartie du renoncement aux suppressions d’emplois.

4) Quatrième urgence : contrôler et réorienter l’utilisation des 360 milliards du plan d’aide aux banques.

Nous avons avancé de nombreuses propositions à l’automne, dont celles, essentielles et pleinement d’actualité :
- de la constitution d’un pôle public et financier, à partir de la Banque Postale, d’Oséo, de la CDC, des caisses d’Epargne et de nouveaux outils d’intervention publiques crées par le gouvernement comme la Société de Prise de Participation de l’Etat qui agit aujourd’hui sans contrôle transparent.
- d’une refondation des missions et du rôle de la Banque Centrale Européenne, dont nous entendons faire une proposition forte dans le cadre de la batille des prochaines élections européennes, d’autant que la fable de l’indépendance de la BCE à l’égard des gouvernements vient de voler en éclat à la faveur de la crise financière.

Nous voulons aujourd’hui attirer l’attention sur les pouvoirs d’intervention nouveaux qui doivent être créés à tous les niveaux pour les salariés, les syndicats, les élus, les populations. Cela doit en particulier les critères d’utilisation des 360 milliards de crédits ouverts aux banques.

Nous proposons donc :
- La création de cellules de crise ou de commissions transparentes, ouvertes aux élus et aux syndicats, dans les départements ou les bassins d’emplois, pour contrôler et batailler sur l’utilisation des milliards d’euros dégagés au nom de plan de relance.

Dans le cadre de nos journées de mobilisation en janvier et par la suite, nous envisageons de saisir à ce propos les préfets et le médiateur du crédit nommé par le gouvernement .

La bataille pour savoir comment est utilisé l’argent du plan de relance et avec quels critères doit devenir une grande bataille publique.

Téléchargez le tract à :

http://www.pcf.fr/IMG/pdf/exe_tract_4p_a5_crise_web.pdf

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12 janvier 2009 1 12 /01 /janvier /2009 17:17

Ce n'est pas par la guerre que l'on construit la paix et la sécurité

GAZA :

STOP A L'HORREUR

AMPLIFIONS LES MOBILISATIONS POUR LA JUSTICE ET LA PAIX AU PROCHE-ORIENT

La France doit exiger l’arrêt immédiat de l’offensive terrestre, le retrait des troupes israéliennes de Gaza et la cessation des bombardements. Il n’y a pas d’issue  dans l’escalade militaire et dans la guerre.

Les autorités françaises ayant affirmé qu’il n’y a pas de solution militaire, Nicolas Sarkozy doit  en tirer jusqu’au bout les conséquences en tenant un langage de fermeté, en s’appuyant, avec détermination, sur le droit international et en appelant le gouvernement israélien à abandonner la logique de force.

La France et l'Europe peuvent agir pour la paix, la justice et la sécurité au Proche-Orient.





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9 janvier 2009 5 09 /01 /janvier /2009 17:58
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28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 13:52

Le 22 octobre dernier a été présenté en conseil des ministres le projet de loi Hôpital, Patients, Sante, Territoires. Le débat sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2009 s’engage cette semaine au Parlement.

Sur fond de crise financière, ces deux projets de loi viennent en continuité des mesures précédentes (franchises, tarification à l’activité pour les hôpitaux, déremboursements…). C’est une restructuration en profondeur de notre système de santé, fondée sur la privatisation et la concentration des pouvoirs.

Ces lois visent à transférer de nouvelles charges sur les assurés sociaux et à assurer la part belle au secteur privé, qui pourra accroitre son entrisme dans le service public hospitalier.

Sous couvert d’autonomie, il s’agit de déconcentrer le pouvoir central au travers d’Agences régionales de santé, de regrouper les hôpitaux en Communautés hospitalières de territoire et de renforcer les pouvoirs du président du directoire d’établissement, remplaçant, sous une forme resserrée et non démocratique, les conseils d’administration. L’objectif est, comme pour les universités, de développer un mode de gestion basé sur la rentabilité financière et d’encourager les établissements à rechercher une part croissante de leurs ressources à l’extérieur.

Notre système de santé, qui reste encore l’un des meilleurs du monde par son maillage territorial et sa protection sociale solidaire, est en danger. Assurés sociaux et usagers, service public de proximité, soins de qualité accessibles à tous seront les premières victimes de la politique gouvernementale.

Mais la riposte s’organise. Le combat contre les franchises médicales se poursuit ; les actions contre les fermetures de services et d’établissements s’amplifient, (comme en témoignent quelques exemples relatés dans ce bulletin) avec la campagne Touche pas à mon hosto, engagée par la Coordination nationale de comités de défense des hôpitaux et maternités de proximité. Depuis le 27 septembre et jusqu’à fin novembre, un tour de France d’initiatives est engagé. Il rencontre un succès croissant et encourageant et pourrait aboutir à une manifestation nationale.

Le temps est donc à l’élargissement du débat et de la mobilisation pour défendre et améliorer le droit à des soins et une prévention de qualité pour tous. Avec les assurés sociaux, les usagers, les professionnels et personnels de santé, les communistes avec leurs élus prennent et continueront à prendre toute leur place dans ce combat.



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28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 13:21

Une campagne d'information du Parti Unique de la Majorité

Votre santé, c'est important



Se payez plus pour les autres !

Parce que la santé est un bien précieux, le plus précieux que vous ayez,vous avez compris qu'il n'est pas anormal qu'elle ait un coût, un prix à payer.

Mais comme tout le monde, vous constatez que les soins et les traitements sontde moins en moins remboursés. Comme des millions de français, vous n'avez pas de mutuellepour vous aider à couvrir ces dépenses. Et vous renoncez parfois à vous soigner correctement.
Ce n'est pas normal. Qu'attendez-vous pour vous payer une assurance santé ?
Et pour ceux qui n'ont pas les moyens, il existe des solutions qui ne demandent qu'à être appliquées.

D'abord, vous le savez, le travail c'est la santé. Travaillez plus et vous ne vous en porterez que mieux.
Chacun le sait, pour beaucoup de petits bobos, les remèdes de nos grands-mères sont souvent les meilleurs.
N'oubliez pas aussi que votre boite à pharmacie est pleine de vieux médicaments qui pourront sûrement vous soulager.

Et pour les problèmes les plus graves, nous faisons une vraie proposition. Nicolas Sarkozy avait proposé dans la campagne des présidentielles de recourir à l'hypothèque pour permettre à chacun d'accéder au crédit et devenir ainsi propriétaire de son logement.
Inspirons-nous en ! On ne plaisante pas avec sa santé : qu'est ce qu'une hypothèque sur un pavillon, une voiture ou votre collection de timbres quand il est question de votre futur ou de celui de vos enfants ?

Alors que des irresponsables (les communistes par exemple) sont prêts à toutes les démagogies pour creuser un peu plus le déficit de la sécurité sociale et vous promettre l'accès aux soins gratuits, comme nous vous savez que le comportement responsable de chacun est la seule solution.

Alors n'hésitez plus : investir dans votre santé, investir dans votre avenir !

Une campagne d'information du Parti de la Unique de la Majorité


 

 

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28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 12:16
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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 12:25

Devenir propriétaire n'est plus un rêve...

Après le succès de la maison Birlou à 100 000 euros, après le carton de la maison Boudin à 15 euros par jour, le PUM lance en partenariat avec un grand nom du sport, l'habitation super low-coast en complet acrylique et fibre de carbone.

Inspiré des initiatives du canal de l'Ourcq à Paris, le PUM vous propose de devenir propriétaire pour 1 euro par jour !!! Finies les créances sur 35 ans, finis le stress et les discussions sans fin avec le véritable propriétaire de votre logement – votre banquier - .

Profitez dès maintenant de cette avancée majeure de civilisation qui allie souplesse et mobilité !

Une proposition en rupture avec les
solutions avancées par le PCF
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